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L’Inrae de Saint-Gilles (Ille-et-Vilaine) et la ferme expérimentale du Pradel (Ardèche) ont mené en parallèle deux essais pour étudier les effets du nombre de repas sur l’ingestion et la production laitière caprine. Les spécialistes ont ainsi constaté peu, voire aucun effet, du nombre de repas. 

Une diarrhée entraîne une fuite d’ électrolytes et d’eau.  La chevrette ne peut plus absorber correctement les nutriments et souffre du même coup d’un déficit énergétique.

L’institut de l’élevage, Idele, a organisé une conférence sur l'ENTV (virus de la tumeur nasale enzootique), un rétrovirus à l'origine de tumeurs nasales chez les petits ruminants.

Les zoonoses existent et l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) rappelle que des cas existent chaque année en France.

Alimenter une chevrette jusqu’à la mise bas coûte 165 €.

L’ensemble de la filière caprine sera concernée par l’application de la loi Egalim 2 depuis le 1er janvier 2023.