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Au sommaire d’Élevages Caprins Magazine

Le numéro de septembre d’Élevages Caprins Magazine est en cours d’impression.

Dans cette édition, découvrez un reportage exclusif au Gaec de l’Acacia en Vendée. Les associés ont misé sur un robot d’alimentation innovant, développé par Lucas G, pour nourrir leurs chèvres alpines. Avec l’accompagnement des experts caprins de la Cavac, les éleveurs ont atteint cette année des pics de lactation remarquables, avec une moyenne enregistrée de 4,5 kg de lait par chèvre et par jour (4,7 kg pour les multipares), selon les données du contrôle laitier. La persistance laitière est également au rendez-vous.

Côté nutrition, nous vous présentons les dernières nouveautés des salons de rentrée. La rédaction revient également sur l’importance de l’agroforesterie, une stratégie fourragère de plus en plus prisée au sud de la Loire.

Côté santé, la FCO-3 (fièvre catarrhale ovine) impacte également les élevages caprins. Bien qu’aucune surmortalité ne soit attendue, des baisses de production laitière et des boiteries sont à craindre. L’association La Chèvre des Pyrénées a interrogé ses adhérents pour évaluer l’impact de cette pathologie sur leurs troupeaux. Il est important de rappeler que les sérotypes 3 et 8 de la FCO circulent actuellement en France. L’association recommande vivement de renforcer l’immunité des chèvres pour les aider à traverser cette période sanitaire délicate.

Côté génétique, focus sur la race Poitevine avec le témoignage des associés du Gaec Vachement Salé. Installés dans le Marais Breton, ils ont su tirer parti des qualités spécifiques de cette race pour développer une approche d’élevage originale.

Côté équipement, découvrez les nouveautés de la rentrée, dont une balance connectée permettant de suivre précisément la croissance des chevrettes.

Côté gestion, un dossier spécial est consacré à l’évolution des prix du foncier.

Enfin, à l’étranger, partez en Allemagne avec Cécile Jouffrey, qui continue son tour d’Europe des chèvreries.

 

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Adopter les bons réflexes !

Les mesures de biosécurité ne sont pas obligatoires en caprin mais adopter quelques principes au quotidien permet de limiter les risques pathogènes. Le point avec Thierry Renaudineau, directeur technique au GDS(1) Vendée.