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« L’herbe jeune vaut un concentré »

Cette assertion constitue l’une des 24 entrées du « Vrai-faux des fourrages » que vient de publier Arvalis.

« L’herbe verte au stade feuillu est un aliment de très bonne valeur alimentaire : peu encombrant, équilibré en énergie et en azote (> 1 UFL et > 20 % MAT). Elle « permet généralement de produire 20 à 25 kg de lait sans complémentation protéique », souligne l’Institut du végétal (Arvalis) dans une nouvelle brochure (1) rassemblant 24 fiches destinées à accompagner les éleveurs dans la production, la récolte et la valorisation, en lait ou en viande, de leurs fourrages.

Parmi les autres thématiques abordées, on peut citer : « En système herbager autonome, il faut faucher 50 % de sa surface en herbe au 1er cycle » (vrai), « Faucher tôt permet de bien gérer le pâturage » (vrai), « L’herbe d’automne est de mauvaise qualité » (faux), « Faire un déprimage améliore la qualité de la prairie » (vrai), « La date du premier apport d’azote sur prairie dépend des conditions de l’année » (vrai), « Une prairie avec légumineuses n’a jamais besoin d’azote » (faux), « Les crucifères cultivées en dérobées présentent de bonnes valeurs alimentaires » (vrai), « Intégrer de l’herbe dans une ration sèche (base céréales) en engraissement fait toujours baisser le coût de la ration » (vrai), « Le maïs épi sécurise la ration des jeunes bovins » (vrai), etc.

BC

(1) « Les vrai-faux des fourrages», 28 pages, référence : 3958, prix : 12 euros + frais de port – commande en ligne : www.editions-arvalis.fr

A lire également : La prairie, première source de protéines (Semae, 9 mars 2021)

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Au sommaire d’Élevages Caprins Magazine

Élevages Caprins Magazine de juin est sorti au sommaire de ce numéro un dossier sur les fourrages, sur le stress thermique et trois reportages en élevage (Deux Sèvres, le Tarn et le Loir-et-Cher).